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Yannick Hascoët, urbaniste : prix spécial de thèse sur l’habitat social (...) - Réseau des acteurs de l'habitat

Yannick Hascoët, urbaniste : prix spécial de thèse sur l’habitat social 2018

Mots clés : Actualités, Communication-Information-Sensibilisation, Relations acteurs-chercheurs, relations à la recherche, Recherche, ...

mardi 16 octobre 2018

Depuis 2014, l’Union sociale pour l’habitat, la Caisse des Dépôts et l’Institut
CDC pour la recherche ont engagé ensemble une dynamique de coopération
avec les milieux de la recherche, dont la remise d’un prix de thèse qui, cette année 2018, a eu lieu au congrès Hlm à Marseille.

L’un des deux prix spéciaux a été décerné à [bleu marine]Yannick HASCOËT[/bleu marine], pour sa thèse en géographie, aménagement et urbanisme dirigée par Isabelle Lefort et Éric Charmes, soutenue le 12 décembre 2016 à l’Université Lumière Lyon 2, intitulée :
[bleu marine]« Vers une modification de l’image de la cité d’habitat social ? Lisières métropolitaines et détours « récréa[r]tistes » (Marseille, Paris, Montréal) »[/bleu marine].

[bleu]Résumé[/bleu]
"Cette thèse pose la question de la modification de l’image de la cité d’habitat social, à partir du constat du développement de pratiques touristiques et artistiques en son sein et dans les marges métropolitaines en général. C’est donc plus globalement l’hypothèse d’une revalorisation des lisières sociospatiales qui est l’objet de ce travail.

La cité d’habitat social, plus encore lorsqu’elle s’incarne dans la forme du grand ensemble des décennies 1950-1970, condense le discrédit et donc l’enjeu du questionnement traité par la recherche :
- les pratiques touristiques et artistiques analysées signent-elles la mise en circulation d’une nouvelle image des cités qu’elles explorent ?
- Et dans quelle mesure peut-on parler de pratiques pionnières ?
À partir d’enquêtes sur des terrains marseillais (quartiers nord), parisiens (banlieue populaire des nord et sud-est de Paris) et montréalais (l’ensemble d’habitat social Jeanne-Mance), la thèse montre que ces détours « récréa[r]tistes » interrogent la fabrique de la (re)connaissance des espaces stigmatisés et sont à ce titre porteurs d’enjeux politiques, esthétiques et économiques."

[*Pour aller plus loin : *]
- Prix de thèse sur l’habitat social - Le livret

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